22 mars 2010
1
22
/03
/mars
/2010
06:33
Pour 4 personnes
Préparation 20 mn - Cuisson 1 heure
- 4 tranches de jarret de veau
- 2 oignons
- 2 échalotes
- 2 carottes
- 4 tomates bien mûres
- 200 g de champignon de Paris
- 3 cuillères à soupe d'huile
- 30 g de beurre
- 2 cuillères à soupe de concentré de tomate
- 2 cuillères à soupe de farine
- 25 cl de vin blanc sec
- 10 cl de bouillon de boeuf (ou d'eau si pas de bouillon)
- 1 tête d'ail entière
- 1 bouquet garni
- Sel, poivre du moulin
Pour la garniture : 500 g de spaghetti
- Eplucher puis hacher les oignons, les échalotes et les carottes en petits morceaux
- Peler et couper les tomates en quartiers, ôter les pépins
- Nettoyer les champignons et les émincer
- Faire chauffer l'huile et le beurre dans une cocotte
- Y placer les tranches de jarret, les retourner pour bien les saisir et verser le hachis de légumes
- Baisser le feu et laisser dorer le tout pendant 4 à 5 mn
- Ajouter les quartiers de tomate et le concentré, puis les champignons
- Saupoudrer le tout de farine, saler et poivrer, mélanger
- Mouiller avec le vin blanc et le bouillon (ou l'eau)
- Laver la tête d'ail et la glisser entière dans la cocotte avec le bouquet garni
- Couvrir et laisser mijoter à petit feu pendant 1 heure
- 1/4 d'heure avant la fin de la cuisson, faire cuire les spaghetti comme indiqué sur le paquet
- Pour servir, verser les spaghetti au fond d'un plat de service, disposer dessus les tranches d'osso-buco
- Napper avec la sauce après en avoir retiré le bouquet garni et la tête d'ail
Un petit sourire... ou La Pensée du Jour ...
La nuit était noire,
La lune était blanche,
Nous étions seuls ce soir,
Elle et moi sous les branches.
Ses grands yeux étaient si doux,
Et sa robe claire était belle,
Mon regard se porta sur ses mamelles,
Et, en la caressant, je me mis à genoux.
Je lui dis de se calmer,
De ne pas se rebeller,
Je fis courir ma main,
Doucement sur ses reins.
Je n'y connaissais rien,
Mais je fis assez bien,
Pour venir d'un geste tendre,
Au bas de son ventre.
Je me souviens de ma peur,
De l'excitation de mon coeur,
Jusqu'à ce moment béni,
Où ma honte s'enfuit.
Après quelques Hisse et Han,
Il ne fallut pas longtemps,
Pour qu'en un jet puissant,
Jaillisse le liquide blanc.
Alors je connus cet intense moment,
Enfin un homme, j'étais à présent,
C'était la toute première fois cet automne...
Que je trayais une vache Bretonne.
--- Poème breton ???
AlsaCuisine vous souhaite bon appétit bien sûr !
Aucune nouvelle idée de ripaille ne doit vous échapper ? Alors inscrivez-vous à la newsletter ...